Thursday, June 22, 2006

Je serais mort avant que ça s'arrête


C'est incroyale a quel point je peux être partiale quand je porte des jugements a l'égard d'un groupe et a quel point la musique de l'album prend parfois un rôle secondaire sur mon impression. Le dernier Darkest Hour, que je m'apprête a aller voir en concert, n'a rien de mauvais et est même irréprochable pour peu que l'on aime ce type de death metal mélodique. Pas un pet de travers hormis une production un peu trop propre. Mais a part ça, et encore si on peut appeler un défaut le fait d'entendre plus correctement tout les instruments, il n'y absolument rien de mauvais. Rien de neuf, ça c'est un fait, le genre a tellement était traversé de part en part par des explorateurs de tout bord que ce n'est plus maintenant un territoire vierge mais une autoroute balisé avec même des péages a chaques bouts. A ce titre n'est donc pas une merveille incomparable, un peu trop comparable d'ailleurs, mais par rapport a tout les autres representants du genre ce sont encore les meilleurs a s'approprier ce qui a était fait du coté suédois et le rendre plus énergique sans passer par des clichés d'usage qui voudraient que tout les groupes de Hardcore posent devant des caméras avec des mines de types qui vont vous faire passer un sale quart d'heure si vous leur volez leur petit déjeuner.

Autre surprise par rapport a cet album, je le connais quand même assez bien alors que je pensais l'avoir assez peu écouté. Assez peu par rapport a son prédecesseur, Hidden hands of a sadist nation, mais tout de même. Non en fait, le problême, c'est que j'étais fan de Darkest Hour et que je les porté en tellement haute estime que de voir le genre qu'il s'était approprié se faire piller et donc les voir devenir un autre exemple de la mode metalcore (sans qu'ils soient finalement metalcore) m'a dirigé vers d'autres millieux alors que j'aurais put me resourcer parfois a des sources beaucoup plus mélodieuse et dynamique plutot que de me concentrer sur d'autres artistes plus experimentaux et donc plus cérébraux. Il me faut un peu des deux nom de dieu ! Ce soir sera donc le début de ma cours de juvence et d'un retour vers ces cinq jeunes types qui m'ont tellement fait remuer la tête et le coeur grace a des hymnes épiques comme "This is how the beautiful decay", "the Patriot virus" et puis surtout, surtout, "Veritas aequitas". D'ailleurs si j'ai l'occasion de parler a un membre du groupe je leur dirais ce que j'ai l'intention de faire avec ce titre, ce sera interessant de voir sa réaction.

No comments: