Wednesday, May 31, 2006

Oh


Déception. Hier je me suis mis en quête de Dj à écouter et je me suis donc pencher directement sur les noms que contenait le documentaire Scratch. Après Cut Chemist la suite du programme ne pouvait être que son compère de Jurassic Five, le très sympathique Nu Mark orné de son bonnet qui le fait passé pour un intégriste musulman. Oui, le bonnet sur la tête ce sont surtout les juifs, mais est ce que j'ai le droit d'avoir des associations d'idées qui se prévallent de toutes connaissances culturelles de base ? Bon. Nu Mark disais je, auteur d'un album solo unique pour le moment, d'après ce que j'ai trouvé, mais pas vraiment le trésor auquel je m'attendais. D'abord ce n'est pas specialement un album de Dj bourré de scratch que l'on a là mais d'abord un ensemble de chansons composés de samples dans la même veine que le "Six days" de Dj Shadow. De belles prouesses mais un manque sevère d'émotion, contrairement a la chanson (et l'ensemble de la carrière) de l'autre type precedemment cité.

Autrement, dans la seconde partie de l'album, ce sont des chansons de rap ou viennent poser divers MC plus ou moins talentueux mais, malheureusement, sur un fond sonore assez plat. A vrai dire, a ce moment là, j'ai commencé a regretter la première partie de l'album. Ce n'est pas inécoutable, ne vous en faites pas une si mauvaise idée. Mais comparé a la fraicheur et a la vivacité de l'album de Cut Chemist que j'ai écouté hier, c'est une très grosse deception que de ne pas avoir droit a une nouvelle excellente surprise. Pourtant il y a du talent au rendez vous, sans aucun doute, ça va se savoir même, a un moment ou un autre. Mais pas sur ce disque. Il y a même un featuring assez médiocre d'un membre de IAM, ou du moins je suppose vu les références aux "samouraï" et l'accent Marseillais du MC. Pour changer un peu je vous post la pochette de l'album histoire que vous sachiez que vous n'avez pas vraiment besoin de vous procurez cet album.

Tuesday, May 30, 2006

One, two, threee, four ...

Avez vous le documentaire Scratch sur le deejaying ? Si oui, vous êtes de brave gens. Si non, allez le chercher sur emule et ne passer pas a coté de l'occasion de regarder un excellent documentaire sur un des grandes révolutions musicales de ces vingt dernières années. Moi même j'en suis friands et j'ai eu ensuite envie de mieux connaître tout ces types dont je connaissais déjà majoritairement les noms mais sans avoir trop cherché a apprendre ce qu'il faisait avec leurs petits doigts une fois qu'elles se posaient sur leurs platines. Cut Chemist est un des noms qui reviens plusieurs fois dans le courant du documentaire. D'abord en compagnie de Dj Nu Mark au sein de Jurassic Five puis avec Dj Shadow pour leur fameux Product placement, tournée ou il partage la scène. C'est justement durant ces scènes que l'on peut voir et surtout entendre des extraits de chansons de Cut Chemist et à chaque fois les morçeaux sont tirés de son album "Cut Chemist meets shirtkut". Je vous le jure, je viens de les entendre, ce sont bien les morçeaux en question.

Si vous ne voulez qu'entendre que les deux chansons utilisés alors dirigez vous seulement vers "Let's dance on planet rock" et "Chuck D counts down to armageddon". Le reste de l'album est du même tonneau, extrait de classique du funk, du rap et de nombreux vyniles de cours et d'enregistrments divers. Tout passe a la moulinette grâce aux scratchs de Cut Chemist et forme un tout cohérent comme si vous vous balladiez dans un parc d'attraction censé representé une bonne part de l'histoire de rap et que votre cerveau mélangeait tout ce qui vous êtes arrivé tout au long de la journée. Mais finalement de tout ces souvenirs vous en tirerez une image encore plus distrayante et jouissive tellement les codes se mélangent pour former un tout nouveau paysage. Ce n'est pas ma sérieux de ma part, j'écris ces lignes alors que je n'ai même pas finis d'écouter cet album, le comité des chroniqueurs va me tomber sur le dos. Mais voila ce qui arrive quand on est transporté par les petits joies que vous procure un disque, vous avez besoin d'en parler tout de suite pour que le maximum de gens puissent en profiter le plus possible. C'est ce qui m'a motivé a ouvrir ce blog et c'est ce qui continueras a me transporter vers les touches de mon clavier.

Vive les pingouins !

Into the Moat fait partie de cette vague de groupe atteint d'un déficit chronique de l'attention. Beaucoup d'idées mais pas assez de concentration pour en tirer une chanson cohérente. On passe de riffs en riffs et on s'amuse bien, comme sur un grand huit, mais le but du jeu reste un peu floue quand on arrive à la fin et que l'on se rend compte que l'on a pas retenus grand chose. C'est peut être donc par deception que ce membre de ce groupe a décidé de partir dans un autre pour produire une musique bien différente dont seule les vocalises du début sont reminiscents de sa période dans Into the Moat. Glacier est le nom de ce nouveau joujou et il faut se pencher non plus vers the Dillinger Escape Plan ou Converge pour lui trouver des parents mais plutôt vers Neurosis. Non ! Pas POST HARDCORE. Sludge. Répétez après moi ! SLUDGE ! Donc oui, il y a des ressemblances avec ces fameux esthètes de la lourdeur mais la ressemblance ne se prolonge pas une fois que la chanson s'embarque au delà de la première minute.Déja car les riffs sont lourds et assez assérés vers le début mais aussi car le rythme pachidermique est aussi propice a des disgressions totalement différente comme des vocalises mélodiques qui n'ont rien de triste ou de torturé ou un superbe passage mélant guitare acoustique et violon. En fait, je me demande même pourquoi j'ai précisé la liaison avec Into the Moat tellement il n'y a plus rien à voir avec cette entité précédente. C'est un tout nouveau départ pour Glacier et le chemin pourrait se révéler interessant quand dés le départ les influences sont aussi bien digérés. Un mp3 est téléchargeable sur Lambgoat (webzine Hardcore et Metal) et je vous engage a passer les 9 prochaines minutes en compagnie de ce gros morçeau de glace, vous ne le regreterrez pas.
Glacier - the Diet of worms

Monday, May 29, 2006

Tourne toi s'il te plait

Quand je pense au Doom je pense a un groupe triste dont la vie sentimentale est un champ de mine. En fait, pour être honnête, en commencant cette phrase je ne savais pas quoi dire ensuite. C'est un peu le problême avec un groupe que l'on aime, et en l'occurence avec Torche , c'est de faire comprendre aux personnes qui liront ce message que ce groupe peux leur convenir. Même les fans de rock plus classique peuvent apprecier ces petits gars là, le tout est de trouver les mots pour le dire. Alors qu'est ce que Torche ? Déjà c'est un quatuor provenant des cendres de Floor, un groupe assez culte dont je n'avais jamais entendu parler auparavant. Et après on viens me dire que je suis le dépositaire de la connaissance universelle musicale. Quatre type donc, et une pochette de disque rappelant l'époque du flower power. C'est salopard de hippie, maudit sois t'il, nous ont tout de même amené un tas de bons groupes que les furieux de mon jours qui crachent sur les collier a fleur auraient bien du mal de renier. Torche plonge sa tête dans le tonneau d'acide mais en ressors avec une proposition tout de même un peu plus lourde mais pas moins mélodique. Merde, on a même droit a des grosses accroches mélodiques sur les refrains. Et pourtant ce n'est pas de la soupe, ou alors de la bonne, avec des pâtes alphabet. Classick rock, un peu de doom, comme je tentais de le dire dans mon introduction foiré, et puis un don pour le gros refrain avec qui on se ballade en souriant pendant une semaine. Voir plus si affinités. Je ne sais pas pourquoi personne ne s'est encore jeté sur ce groupe dans la presse rock independante et pourquoi ce sont leurs confrères de the Sword (un groupe aussi un peu revival rock type Black Sabbath) qui a droit a tout les honneurs (de MTV et de Rolling Stone, donc de gros guillemet sur le mot honneur) mais je ne laisserais pas ce quatuor être ignoré plus longtemps. Débouchez vous les oreilles nom de dieu !

Torche sur Myspace

Saturday, May 13, 2006

Dans votre magasin favoris

A Gilbert en ce moment le rayon metal est bien acceuillant avec quelques albums a moins de 10 euros. Bon ok, c'est du 9,99 mais c'est quand même moins de 10 Euros pour des albums de Mortician (qui veux écouter un bruit de lessiveuse boosté au blast ?), Lacuna Coil (mais surtout les premiers, donc les meilleurs parait il) et puis Haven et Character de Dark Tranquility,rEVOLVEr de the Haunted en digipack et en version simple, et surtout, surtout plein de titres de chez Relapse : Gasget, Soilent Green, Uphill Battle, Incantation, l'album solo de Karl Sanders (mais avec que des instrumentaux typés egyptien, pas de death metal). Au rayon Hardcore les bonnes surprises continuent aussi avec les deux albums de Burnt by the Sun, du Today is the Day (Kiss the pig, Live till you die et Sadness will prevail) et juste a coté en doom on a droit a deux albums de Bongzilla à pas cher. Profitez en, ça dure jusqu'a la fin du mois. D'ailleurs j'ai pas trop attendus et je me suis déja pris :

Uphill Battle - Wreck of nerves
Origin - Informis infinitas inhumanitas
Cryptic Slaughter - Convicted
Leng Tch'e - Process of elimination
Si c'est pas beau tout ça.
Ah et puis des commentaires siouplait, si c'est pas trop vous demander ?

Friday, May 12, 2006

Guns and Roses 2

Marrant. Je viens d'écouter une chanson tiré du nouvel album de Eighteen Vision, un groupe qui a toujours préféré s'afficher avec une attitude très rock and roll malgrès qu'ils viennent de la scène Hardcore (voir metal hardcore) Straight Edge, et autant dire que le coté rock a encore pris de l'ampleur dans leur son. Ok, il y a toujours des passages assez connotés Hardcore et de quoi vous donner envie de remuer vos bras dans tout les sens. Mais je vous garantis qu'en même temps les filles auront envie de remuer leurs fesses en rythmes avec cette chanson. Ce n'est pas génial, ce ne m'a pas donné envie d'acheter l'album en une fraction de seconde, pourtant j'avoue que j'aurais du mal a me déloger cette chanson de la tête et que j'aurais aussi du mal a ne pas y prendre du plaisir. C'est juste ... vachement bien foutus. Pour écouter, suivez le lien pour afficher une page ou la chanson est lisible en streaming :
Eighteen Visions - Victims

Oh un avion !

Dans tout les millieux il y a des modes, que ce sois dans les hautes sphères télévisuelles ou dans les fosses des millieux les plus reculés, la mode est un phénomène que l'on retrouve un peu partout. Doit y'avoir que dans les petites tribus reculés que la mode n'existe pas, quoi que l'on m'a laissé entendre que la feuille de chêne était très tendance cet été. Oui, la mode n'épargne personne mais elle n'est pas necessairement a eviter comme la peste car de bonne choses peuvent découler d'elle. Isis et Neurosis sont a la mode ? Bon et bien il va y avoir pas mal de groupes dont les influences seront largement puisés dans ces deux là. Est ce necessairement mal et moins sincère que ce qui n'est pas a la mode ? Euh, oui et non. Dans la categorie non on trouve Rosetta, des petits jeunes qui ont désirés rendre hommage a leurs influences et ont finalement fait presque aussi bien que leurs idoles. Pour ceux qui ne savent pas qui sont les deux noms susnommés, imaginez des notes de guitare et de basse assez espacés, des frappes lentes et lourdes de batterie, des mélodies aerienne qui mettent du temps a se developper mais vous transporte dans d'autres mondes, le tout agrémenté de passages plus lourd mais pas moins lent. Intéréssé ? Bon et bien vous prenez the Galillean satellites et vous en aurez pour votre argent. Certes pas innovant, mais tout de même très bien foutus, Rosetta use des codes crée par ses deux ancêtres pour un double album. 5 chansons avec l'habituel trio guitare, basse et batterie, puis un second album electronique que l'on peut jouer en même temps que le precedent pour leur donner une nouvelle dimension. La formule avait déjà été exploité par Neurosis sur les albums "Times of grace" et "Grace" mais le résultat n'est pas moins convainquant. Le tout est sortis sur Translation Loss l'année dernière et est facilement commandable, alors ne vous faites pas prier.

Mp3 :
Rosetta - Europa

Site officiel :
Rosetta

Thursday, May 11, 2006

Oh, un poilus

La brutalité demande un peu plus d'effort que la comédie. Le gag de répétition est une pratique courant dans beaucoup de medias qui se veulent drôle et son utilisation peut se reveler une source de rire. Par contre amener un type avec une tronçonneuse et faites le decouper des cochons plusieurs fois a la suite et vous n'aurez pas du tout le même résultat. La première fois ce sera choquant, vous aurez pitié pour le cochon et aurez peur du type avec sa tronçonneuse. Mais au bout du deuxième vous vous douterez que quelque chose cloche et au bout du quatrième il n'y aura plus de place pour le doute, ce type est un robot et il est juste fanatique de la découpe de cochons, donc pas besoin de s'inquieter. Dans le death metal c'est pareille, des types arrivent et martyrisent leur cordes vocales, leurs guitares, leur batterie (mais pas leur basse, elle est toujours un peu trop paumé dans tout ça pour être vraiment martyrisé) et la première fois ça vous fait de l'effet. La seconde un peu moins et ainsi de suite jusqu'a ce que la violence ne devienne qu'une toile de fond de plus. Alors imaginez ma surprise quand en écoutant une chanson du dernier Skinless, un groupe assez bateau de death metal signé sur Relapse Record (j'aurais dut me douter de quelque chose) , quand une marée de riffs mechamment efficace m'ont fait relevé le nez. Oui on peut semble t'il encore faire du death metal brutal et agréable tout en ayant un peu de personalité, ou tout du moins en étant un peu imprevisible. Par contre, a partir de là je ne pense pas qu'il y ai grand chose a rajouter vu que ce gerne étant donné que l'on aime ou l'on deteste ce type de musique, donc je vous confie juste ces deux chansons en esperant qu'elle trouve une petite place dans votre playlist.

Skinless - Deviation will not be tolerated
Skinless - Execution of reason

Gloubiboulga

Pour accrocher les masses ont peux choisir plein de noms chatoyants et fleuris afin de faire plaisir et d'évoquer des paysages ensoleillés ou les paquerettes pousseraient à profusion. Par contre quand on ne veux surtout PAS brosser les masses dans le bon sens, et bien on s'appelle Intestine Baalism. Bien sur quand on sais que ceux là viennent du japon tout deviens plus clair, la passion de ceux ci pour les choses extrême (aussi mignon que horrible) étant une partie importante de la culture japonaise tel qu'elle est representé dans l'inconscient collectif européen. Pourtant, de debordement extremiste il n'est pas vraiment question ici mais plutot de death metal a tendance mélodique avec de grosses doses de solos incroyable qui vous feront jetter tout vos albums de In Flames en une seconde. Oui, le chanteur grogne et non ce n'est pas pour les fans de Arch Enemy, mais dès que les doigts des guitaristes se poseront sur leurs instruments je vous garantis que vous aurez du mal a retenir vos machoir de tomber si vous êtes un tantinet fan de Metal a haute dose en solo. Deux bases de comparaison : Necrophagist et Arsis. Si vous connaissez ces deux là alors vous voyez de quoi je parle, sinon faites vous une petite idée d'un type qui grognerait avec une voix bien grave sur des guitares foncant tête baissé dans un bon mur de violence mais toujours orné de mélodies épiques. Le genre de ritournelle que l'on
servirait au guerrier viking avant de foncer dans le feu de la bataille si ceux ci avaient gouter aux joies du death metal. Impressionant.

Chanson conseillé :
Flesh for the twelth omnipotent

Site officiel :
Intestine Baalism

Cause I love you ...

Premier challenge sur ce blog : "Parle de Björk demain" me demande ma petite amie. "Ah bon" lui répondis-je, omettant de placer un point d'interrogation dans ma gorge pour signifier mon approbation malgrès ma seconde d'incrédulité, je ne peux rien refuser à ma dulcinée et je m'exécute donc ce matin, de peur qu'une quelconque régle ne me tombe sur les doigts un de ces jours. Björk donc est le symbole de la pop clasieuse et luxueuse tel que je la fantasme. Des mélodies placés en pleine en exposition mais avec un travail constant sur et tout autour de l'objet pour rendre les chansons obsédante. Et pas parce que l'ameçon aura pris et que vous aurez besoin de votre fix mais tout simplement car il est difficile de refuser une proposition qui se veux intelligente et en même agréable. Dans Björk il y a evidemment la voix de l'Islandaise, les accents de sa propre langue et son talent pour manipuler ses cordes vocales de diverses manières au sein d'une même phrase. Mais dans Björk il y aussi les envies changeante de cette génitrice qui sais si bien confectionner ses chansons pour les envoyer ensuite dans le vaste monde pour se refugier dans les coeurs de jeunes filles rêveuses A chaque album ont retrouve la marque mais pas les clichés, les instruments changent, les collaborateurs, tout est mis a profit pour faire de la musique. Que ce sois les bouches, les instruments traditionnels ou les ordinateurs, chaques expert en la matière se mets au service de la fée islandaise et contribue a créer de nouvelles chansons tout aussi formidable que les autres. N'étant pas un fan ultime mais un observateur occasionel je ne conseillerais peut être pas les meilleurs chansons mais voila tout de même le trio qui me viens souvent a l'esprit quand je pense a cette demoiselle.

Chansons conseillées :
Violently happy
Hunter
Triumph of the heart

Site officiel :
Björk Unity

Wednesday, May 10, 2006

Did you see that kid ?

Non mais est ce que vous avez vu ce groupe ? Vast Air & Shamar, deux types fraichement signés sur Def Jux en 2001 sortent un album intégralement produit par le boss de la maison, El P des mythiques Company Flow, un des groupes qui a révolutionné le son rap de New York, et redonnent un coup de jeunesse aux mythe qu'est Definitive Jux. Je ne suis pas un archiviste du ip hop et on me ramenera peut être un gros arguments dans la gueule que je ne saurais contre argumenter mais il y a dans the Cold vein les empreintes d'un rap secoué par les mouvements technologique du fameux 21 ième siècle sans le syliconne et les sonorités artificielles de ceux qui se revendiquent du nouveau millennaire. Encore bien imprégné du son des origines mais plongé dans une toute nouvelle galaxie, un peu transcendante mais surtout bluffante dès que l'on s'approche un peu des instrus ou des paroles. the Cold vein est un album ultime et intouchable que tout ceux qui ont beaucoup a redire au rap peuvent écouter pour voir que l'on peut faire beaucoup dans ce genre si le talent est là.

Titres conseillés :
Iron galaxy
Straight of the D.I.C.
Real earth

Introduction

Propager la bonne nouvelle au sujet de nouveaux artistes ou de nouvelles chansons delicieuse a mes oreilles a toujours été une obsession pour ma personne. Déja au lycée je me trimbalais avec mon walkman et mes écouteurs et j'enchaussais un des deux l'oreille d'une amie pour lui faire entendre ce que j'avais découvert de nouveau ou tout simplement pour partager un petit moment de musique entre les cours. Ensuite, quand j'ai commencé a fréquenter des forums sur internet j'ai continué ma quête en passant des mp3 a qui mieux mieux ou en fournissant des listes de groupes et de chansons a qui voulait bien prendre le temps de télécharger tout cela et surtout, de se faire une idée sur des sons qui n'était pas forcement agréable au premier abord.

Par le biais de ce blog je compte faire la même chose en proposant le plus quotidiennement possible des groupes que j'aurais découvert et que je souhaiterais partager avec le plus de personne. Je ne compte pas m'adresser uniquement aux fans de Metal, bien que ce sois mon genre de prédilection, mais passer en revue n'importe quels artistes ou quels chansons qui m'auraient plus, quel que ce sois le style. Ne vous etonnez donc pas de voir de grandes différences entres les posts, je ne souffrirais pas de m'enfermer dans un domaine particulier. Voila, ceci étant dit, que les conseils commencent et n'oubliez pas de laisser des commentaires en fonction de ce que vous aurez aimé et de ce qui vous aura déplut, les retour c'est ce qui fait vivre les blogs.