Book of Black Heart
http://www.myspace.com/bookofblackearth
J'avais oublié que ce groupe devait sortir un nouveau disque chez Prosthetic avant la fin de l'année mais cette nouvelle m'a tout de suite fait ajouter le nom de ces anciens Teen Cthulhu (groupe de hardcore avec du clavier) à ma liste. Book of Black Earth n'est pourtant pas un des groupes les plus merveilleux qui soit. Mais, en matière de black/death symphonique, peu de monde se presse au portillon ce qui laisse seul Book of Black Earth pour garder le temple sacré fondé par Emperor. Moins progressif que les norvégiens, ces américains ne sont pas pour autant inintéressant. Il y aura donc du metal a revendre sur ce nouvel album, et du bon.
Sigh
www.myspace.com/sighjapan
Sigh aurait pu figurer au rayon progressif mais avec cette reprise intégrale de l'album "Black metal" de Venom, le classement dans ce genre me semble tout indiqué. Sorti confidentiel, uniquement annoncé sur Rateyourmusic, e ma connaissance, et limité à un nombre ridicule d'exemplaire, cette sortie est d'avantage une curiosité qu'un nouvel album. Qu'à cela ne tienne, Sigh reste Sigh et un nouvel album de ce groupe de black metal psychédélique japonais est toujours bon a prendre. De toute manière, ce n'est pas comme si le genre était surchargé.
Saturday, September 13, 2008
Les albums que j'attends pour la fin de l'année 2008 : Death Metal
All Shall Perish
www.myspace.com/allshallperish
Le deathcore est un des styles plus haï et exploité dans le milieu metal extrême actuel. Comment donc aujourd'hui sortir un disque correct quand les piles de groupes a mèches s'amoncèlent avec toujours plus de gomina, de grognement porcins et de riffs gras ? En écrivant tout simplement des riffs tellement metal que l'acier coule du disque une fois que vous le mettez dans votre lecteur. "The price of existence" était déjà une petite merveille dans le genre et le suivant ne semble pas être sur le point de changer la donne avec des refrains mélodiques ou des coupes douteuses (à la From a Second Story Window) mais de produire des riffs techniques et metal soutenu par une rythmique dévastatrice. Ca va saigner.
Psycroptic
www.myspace.com/psycroptic
Que dire sur ce groupe de death technique australien à part que c'est un groupe de death technique australien ? Que "Symbols of failure" était une réussite dans le genre mais un échec pour ce qui est d'écrire des chansons mémorables ? Que le nouveau disque semble avoir réparé ce problème avec encore plus de variation et de cohérence ? Que l'on a toujours besoin d'un peu de death technique de temps en temps ? Je ne sais pas quoi ajouter.
Severed Savior
www.myspace.com/severedsavior
Découvert le mois dernier grâce à leur signature sur Willowtip, le label référence du death technique, Severed Savior synthétise tout ce qui se fait de mieux et de plus violent dans le genre en se payant le luxe d'être aussi mélodique par moment (mais pas trop) et de rajouter un interlude jazzy à la fin d'une chanson. Moderne, chaotique, ce disque promet d'effacer le mauvais souvenir qu'a laissé le dernier Cryptopsy et de reprendre la route là où les canadiens l'ont laissé : vers toujours plus de complexité et de violence. Juste ce que l'on demande.
www.myspace.com/allshallperish
Le deathcore est un des styles plus haï et exploité dans le milieu metal extrême actuel. Comment donc aujourd'hui sortir un disque correct quand les piles de groupes a mèches s'amoncèlent avec toujours plus de gomina, de grognement porcins et de riffs gras ? En écrivant tout simplement des riffs tellement metal que l'acier coule du disque une fois que vous le mettez dans votre lecteur. "The price of existence" était déjà une petite merveille dans le genre et le suivant ne semble pas être sur le point de changer la donne avec des refrains mélodiques ou des coupes douteuses (à la From a Second Story Window) mais de produire des riffs techniques et metal soutenu par une rythmique dévastatrice. Ca va saigner.
Psycroptic
www.myspace.com/psycroptic
Que dire sur ce groupe de death technique australien à part que c'est un groupe de death technique australien ? Que "Symbols of failure" était une réussite dans le genre mais un échec pour ce qui est d'écrire des chansons mémorables ? Que le nouveau disque semble avoir réparé ce problème avec encore plus de variation et de cohérence ? Que l'on a toujours besoin d'un peu de death technique de temps en temps ? Je ne sais pas quoi ajouter.
Severed Savior
www.myspace.com/severedsavior
Découvert le mois dernier grâce à leur signature sur Willowtip, le label référence du death technique, Severed Savior synthétise tout ce qui se fait de mieux et de plus violent dans le genre en se payant le luxe d'être aussi mélodique par moment (mais pas trop) et de rajouter un interlude jazzy à la fin d'une chanson. Moderne, chaotique, ce disque promet d'effacer le mauvais souvenir qu'a laissé le dernier Cryptopsy et de reprendre la route là où les canadiens l'ont laissé : vers toujours plus de complexité et de violence. Juste ce que l'on demande.
Les albums que j'attends pour la fin de l'année 2008 : Grind
Crowpath
www.myspace.com/crowpath
C'est bien sur réducteur de voir Crowpath comme un "simple" groupe de grind mais le chaos, l'énergie et la passion du genre se trouve encore dans ce groupe alors autant faciliter les choses et les associer à cette scène. Cela leur convient très bien et ce n'est pas incorrect. Ce qu'il est toutefois important de préciser c'est a quel point Crowpath joue avec le genre, balance la batterie dans l'escalier et la fait dévaler des escaliers d'immeubles lovercraftien. La complexité de ce groupe ne trouve d'équivalent que dans l'énergie et l'originalité de ce quartet. Hallucinant sur scène, il faut espérer qu'un promoteur trouvera le moyen de les faire revenir en France.
Kill the Client
www.myspace.com/killtheclient
A l'inverse de Crowpath, Kill the Client est plutôt traditionnel dans sa manière de jouer avec ce genre. L'influence qui ressort le plus des albums précédent est Brutal Truth donc, forcement, leur musique n'est pas non plus très orthodoxe. Cependant, même si le style de ce groupe évolue, il reste toujours dans leur musique ce qui fait la qualité des groupes du genre : la passion, la violence et une détermination à tout épreuve qui ressent autant dans les paroles que dans le jeu de tout les musiciens.
Misery Index
www.myspace.com/miseryindex
Plus death metal que grind aujourd'hui, Misery Index n'en oublie pas pour autant l'engagement politique plus propre à Napalm Death qu'à Morbid Angel. Je caricature mais l'influence du grind a toujours fait bonne figure dans tout les disques de Misery Index et cela même sur le dernier en date, "Discordia", où l'on pouvait entendre des variations bienvenue comme des ralentissements ou des variations de rythme plus fréquent. La suite s'annonce donc comme une progression vers les directions qu'indiquaient "Discordia" et ce ne peut que présager du meilleur.
www.myspace.com/crowpath
C'est bien sur réducteur de voir Crowpath comme un "simple" groupe de grind mais le chaos, l'énergie et la passion du genre se trouve encore dans ce groupe alors autant faciliter les choses et les associer à cette scène. Cela leur convient très bien et ce n'est pas incorrect. Ce qu'il est toutefois important de préciser c'est a quel point Crowpath joue avec le genre, balance la batterie dans l'escalier et la fait dévaler des escaliers d'immeubles lovercraftien. La complexité de ce groupe ne trouve d'équivalent que dans l'énergie et l'originalité de ce quartet. Hallucinant sur scène, il faut espérer qu'un promoteur trouvera le moyen de les faire revenir en France.
Kill the Client
www.myspace.com/killtheclient
A l'inverse de Crowpath, Kill the Client est plutôt traditionnel dans sa manière de jouer avec ce genre. L'influence qui ressort le plus des albums précédent est Brutal Truth donc, forcement, leur musique n'est pas non plus très orthodoxe. Cependant, même si le style de ce groupe évolue, il reste toujours dans leur musique ce qui fait la qualité des groupes du genre : la passion, la violence et une détermination à tout épreuve qui ressent autant dans les paroles que dans le jeu de tout les musiciens.
Misery Index
www.myspace.com/miseryindex
Plus death metal que grind aujourd'hui, Misery Index n'en oublie pas pour autant l'engagement politique plus propre à Napalm Death qu'à Morbid Angel. Je caricature mais l'influence du grind a toujours fait bonne figure dans tout les disques de Misery Index et cela même sur le dernier en date, "Discordia", où l'on pouvait entendre des variations bienvenue comme des ralentissements ou des variations de rythme plus fréquent. La suite s'annonce donc comme une progression vers les directions qu'indiquaient "Discordia" et ce ne peut que présager du meilleur.
Les albums que j'attends pour la fin de l'année 2008 : Lourd et/ou lent
HKY
www.myspace.com/hkyrock
Encore très peu connu, même dans la scène parisienne, ce quintet dans lequel figure un de mes amis n'est pas dans cette liste pour cette raison. HKY est, depuis que je les ai vu en répétition, un groupe que j'adore et que je ne manque pas de voir en concert. Déjà quatre prestations et j'en redemande. Ces chansons sont immenses, les musiciens sont aussi talentueux que sympathique (et ce n'est pas peu dire) et leur musique est déjà original alors que le premier quatre titre n'est pas encore sorti. Entre Darkspace, Isis et Godflesh.
Jesu
www.myspace.com/officialjesu
Plus de Godflesh, juste Jesu. Logique. Après que le corps du christ ai habité Justin Broadrick pendant plus d'une dizaine d'année, il était logique qu'il revienne après avoir mis fin aux jours de son premier groupe pour continuer sa route sous une nouvelle forme. Plus apaisé mais toujours aussi morose, le son de Jesu continue d'évoluer et de changer au grès de l'humeur et des disques, long ou court. Rien n'empêchera jamais Broadrick de faire une musique original et prenante et cette simple réédition d'un split sorti en vynil et partagé avec Eluvium reste une sortie très attendu.
Monarch!
www.myspace.com/monarchuberalles
Un album de Monarch! ne signifie pas une nouvelle révolution sonore pour le groupe ou pour le monde. Le groupe a son identité et son univers. Les titres sont lents, lourds et dissonant au delà ce qui semble possible pour quatre êtres humains normaux, et encore plus pour une charmante rouquine en jupe armé d'un simple micro. La réalité est tout autre et Monarch! s'impose sur disque et sur scène comme la référence du doom extrême avant et depuis encore plus la disparition de Khanate. Avant même d'écouter on se doute un peu du contenu mais pourquoi gacher son plaisir et demander autre chose que ce que le groupe offre avec autant de maestria : une ambiance malsaine, des titres pachydermique et monolithique. Du noir comme si il en suintait de toute part.
www.myspace.com/hkyrock
Encore très peu connu, même dans la scène parisienne, ce quintet dans lequel figure un de mes amis n'est pas dans cette liste pour cette raison. HKY est, depuis que je les ai vu en répétition, un groupe que j'adore et que je ne manque pas de voir en concert. Déjà quatre prestations et j'en redemande. Ces chansons sont immenses, les musiciens sont aussi talentueux que sympathique (et ce n'est pas peu dire) et leur musique est déjà original alors que le premier quatre titre n'est pas encore sorti. Entre Darkspace, Isis et Godflesh.
Jesu
www.myspace.com/officialjesu
Plus de Godflesh, juste Jesu. Logique. Après que le corps du christ ai habité Justin Broadrick pendant plus d'une dizaine d'année, il était logique qu'il revienne après avoir mis fin aux jours de son premier groupe pour continuer sa route sous une nouvelle forme. Plus apaisé mais toujours aussi morose, le son de Jesu continue d'évoluer et de changer au grès de l'humeur et des disques, long ou court. Rien n'empêchera jamais Broadrick de faire une musique original et prenante et cette simple réédition d'un split sorti en vynil et partagé avec Eluvium reste une sortie très attendu.
Monarch!
www.myspace.com/monarchuberalles
Un album de Monarch! ne signifie pas une nouvelle révolution sonore pour le groupe ou pour le monde. Le groupe a son identité et son univers. Les titres sont lents, lourds et dissonant au delà ce qui semble possible pour quatre êtres humains normaux, et encore plus pour une charmante rouquine en jupe armé d'un simple micro. La réalité est tout autre et Monarch! s'impose sur disque et sur scène comme la référence du doom extrême avant et depuis encore plus la disparition de Khanate. Avant même d'écouter on se doute un peu du contenu mais pourquoi gacher son plaisir et demander autre chose que ce que le groupe offre avec autant de maestria : une ambiance malsaine, des titres pachydermique et monolithique. Du noir comme si il en suintait de toute part.
Les albums que j'attends pour la fin de l'année 2008 : "Progressif"
Burst
www.myspace.com/burstrelapse
La rupture entre "Origo" et ce nouveau disque semble tout aussi large qu'entre les deux précédents. Plus longues, aérées, aériennes et amples, le Burst de 2008 apprend de nouvelles leçons à celui de 2005. Le groupe promet même déjà de mettre moins de temps à écrire leur album suivant.
Intronaut
www.myspace.com/intronaut
Déjà très prometteur avant même la sortie de leur premier disque, le CV de Intronaut n'a plus besoin d'être mentionné pour renseigner le public sur leur qualité. "Void" ayant assis la position du groupe en tant que synthétiseur du metal moderne et progressif dont Mastodon et Isis sont les prophètes, ce nouvel apôtre promet d'amener avec ce nouveau disque au titre imprononçable une nouvelle pierre à l'église des convertis à ce metal que l'on dit "intellectuel".
The Haunted
www.myspace.com/thehaunted
Les foules se sont divisés depuis le départ de Marco Aro et le retour de Peter Dolving au poste de chanteur de The Haunted. L'influence de l'homme et la tournure plus rock, plus mélodique et moins thrash, dans son sens le plus radicale et classique, a finit de faire fuir tout ceux qui ne voulait de The Haunted qu'une copie de Slayer. Aujourd'hui débarassé du spectre de At The Gates, The Haunted semble revenir vers un son plus metal avec le très rock "The dead eye" mais continue à user de variations qui font d'eux une anomalie dans le paysage du thrash traditionnel suédois. Les Faith no More du genre, ni plus, ni moins.
Friday, March 14, 2008
Pourquoi un disque ?
Empilé, classifié, rangé et constamment manipulé. Mes disques remplissent mes armoires et les rangées des meubles que l'on a acheté pour cette seule utilité. Où ranger le prochain quand les commandes sont passés à l'autre bout du monde ? Où trouver l'argent pour les acheter ? Et pourquoi devoir aller si loin pour trouver de la musique quand elle ne vous apporte aucune reconnaissance auprès de ceux que vous voudriez impressionner ? Est ce qu'avoir beaucoup de disques a une véritable utilité ?
Tu la sens venir la réponse, hein ?
Je pose les questions mais je possède la réponse. Le simple fait d'interroger le sujet quand on affirme posséder beaucoup de disque brise tout de suite la tension que l'on voudrait créer en lançant le sujet.
Si je ne grave pas mes disques, que je les achète encore neuf, que je les entrepose dans ma chambre sans prêter attention à l'augmentation du prix du mètre carré c'est que ma raison pour collectionner ces bouts de plastique a une justification valable.
Je n'en possède pas. Non, aucune justification.
Acheter des disques ne réponds pas vraiment à un besoin d'engagement et de rétribution de l'artiste. Si je voulais vraiment jouer au mécène j'enverrais de l'argent directement aux groupes sans rien leur demander en échange ou je choisirais de tout télécharger et de n'acheter que le tee shirt. Le nerf de la guerre des musiciens, petits ou grands.
Je collectionne mes disques et je les conserve précieusement car ce sont les récéptacles des oeuvres. Sans eux, la musique n'a plus le même sens. Ce n'est qu'un fichier sans support et sans consistance physique. Pourquoi prêter attention a un bout de kilobits quand on peut le supprimer du jour au lendemain sans y réfléchir, et sans même parfois son propre consentement (car tel est la raison qui motive les ordinateurs et elle continue d'échapper à la plupart des terriens).
Le disque par contre ne disparait pas, il représente la continuité physique de la musique entre l'artiste et moi même. C'est un objet que je peux manipuler et sur lequel mon esprit peut se référer en écoutant la musique. Le visuel donne sa couleur au disque. L'image illustre le propos et créer la toile sur laquelle va se projeter la musique. La couverture, les paroles, le livret donne un contexte tandis que la musique développe l'atmosphère et matérialise avec plus de précision l'émotion.
Béni soit les musiciens qui comprennent la force de ce lien et font de la musique en pensant au visuel ou en donnant leur pochette a un artiste qui contribuera à la force de leur musique.
Il y a encore beaucoup de chose à dire sur ce sujet mais je ne me sens pas l'humeur de continuer à écrire de suite sur ce sujet. Je laisse donc mon clavier en plan pour le moment mais, j'y reviendrais en temps voulu.
Tu la sens venir la réponse, hein ?
Je pose les questions mais je possède la réponse. Le simple fait d'interroger le sujet quand on affirme posséder beaucoup de disque brise tout de suite la tension que l'on voudrait créer en lançant le sujet.
Si je ne grave pas mes disques, que je les achète encore neuf, que je les entrepose dans ma chambre sans prêter attention à l'augmentation du prix du mètre carré c'est que ma raison pour collectionner ces bouts de plastique a une justification valable.
Je n'en possède pas. Non, aucune justification.
Acheter des disques ne réponds pas vraiment à un besoin d'engagement et de rétribution de l'artiste. Si je voulais vraiment jouer au mécène j'enverrais de l'argent directement aux groupes sans rien leur demander en échange ou je choisirais de tout télécharger et de n'acheter que le tee shirt. Le nerf de la guerre des musiciens, petits ou grands.
Je collectionne mes disques et je les conserve précieusement car ce sont les récéptacles des oeuvres. Sans eux, la musique n'a plus le même sens. Ce n'est qu'un fichier sans support et sans consistance physique. Pourquoi prêter attention a un bout de kilobits quand on peut le supprimer du jour au lendemain sans y réfléchir, et sans même parfois son propre consentement (car tel est la raison qui motive les ordinateurs et elle continue d'échapper à la plupart des terriens).
Le disque par contre ne disparait pas, il représente la continuité physique de la musique entre l'artiste et moi même. C'est un objet que je peux manipuler et sur lequel mon esprit peut se référer en écoutant la musique. Le visuel donne sa couleur au disque. L'image illustre le propos et créer la toile sur laquelle va se projeter la musique. La couverture, les paroles, le livret donne un contexte tandis que la musique développe l'atmosphère et matérialise avec plus de précision l'émotion.
Béni soit les musiciens qui comprennent la force de ce lien et font de la musique en pensant au visuel ou en donnant leur pochette a un artiste qui contribuera à la force de leur musique.
Il y a encore beaucoup de chose à dire sur ce sujet mais je ne me sens pas l'humeur de continuer à écrire de suite sur ce sujet. Je laisse donc mon clavier en plan pour le moment mais, j'y reviendrais en temps voulu.
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