Cependant, commencer par la fin, c'est passer a coté de choses fantastiques, comme la vidéo qui suis le prouve, mais aussi une occasion de revenir sur le triptique Coalesce, Botch, Converge et leurs influences. Ce post n'est pas non plus consacrer qu'à Converge et aux groupes affiliés aux Bostonien et se veut surtout l'occasion de présenter plusieurs groupes et artistes qui pourraient intéresser les gouts éclectiques de ce fameux George. Hey oh, let's go !
The Saddest day
A mon sens, quand on parle de Converge, il ne faut pas passer a coté de ce premier "hit" du groupe. L'influence de Slayer y est vive, concassé entre des envollés de violence et des rythmiques brisés chère au groupe et dont ils feront leur marque de fabrique. Cette vidéo est aussi une bonne occasion de montrer à quel point les concerts de Converge sont des occasions de voir des gens voler dans tout les sens, autant sur scène que dans le public. Pour avoir vu le, désormais, quatuor sur scène l'année dernière, je peux affirmer que même si ils se sont assagis par rapport à leurs débuts, la force et l'énergie déployé pourraient toujours alimenter une petite ville pendant une semaine en électricité.
Converge @Myspace
En dehors de ce groupe, les membres hyper actifs s'occupent à d'autres activités. Jacob Bannon (chant) a son propre label, Deathwish, dont les signatures sont très souvent un gage de qualité (The Hope Conspiracy, Starkweather, Killing the Dream ...). Kurt Ballou (guitare) se charge généralement de produire tout ces groupes dans son propre studio et de leur donner un son massif et riche, autre gage de qualité du label, et pas des moindres. Bannon est aussi un artiste peintre dont l'oeuvre s'illustre aussi sur les pochettes des disques de son label. Il exerce aussi son gout pour une musique plus atmosphérique dans un projet nommé Supermachiner, qu'il partage avec Kurt Ballou, dont le premier album (Rise of the great machine) est un vrai bonheur si l'on aime les ambiances opressante. Enfin, avant de rejoindre Converge, Nate Newton (basse) jouait dans un petit projet personnel, entre punk et metal, appelé Doomriders. Cet excellent groupe, auteur de brulots comme "Darkness come alive" ou "Black thunder", a sorti deux très bon disques que George appréciera surement.
Doomriders @Myspace
Mais, avant Converge, qui avait il ? Et bien il y avait Deadguy. Je ne suis pas un fin connaisseur dans la scène hardcore du début des années 90 mais si il y a un nom qui revient constamment dans les chroniques des groupes de cet époque, c'est bien lui. Converge en était fan (et le sont encore, je présume) et n'ont jamais cachés leurs gouts pour Deadguy et leur unique album, Fixation on a co-worker. Par ailleurs, de la même époque, il me semble aussi important de connaitre Bloodlet.
Deadguy en concert
Mais avant Deadguy ? Et bien, il y avait Today is the Day. Ou, tout du moins, le Today is the Day du label Amphetamine Reptile. Etant fan de ce groupe qui est essentiellement le projet de son guitariste / chanteur / compositeur / producteur, Steve Austin, je suis plus familié avec leur discographie à partir de leur signature sur Relapse Record. In the eyes of God et Temple of the morning star sont aussi des pamps important de la musique moderne (Bill Kelliher et Brann Dailor de Mastodon ont d'ailleurs fait parti de TISD pour l'album In the eyes of God). Plus metal que leurs prédécesseurs, Supernova et Willpower, ce sont vers ces deux premiers disques qu'il se tourner si l'ont cherche à retracer la génèse du son Deadguy qui, eux-même, avouait n'être pratiquement qu'un "groupe de reprise de Today is the Day" (je ne me souviens plus où j'ai lu cette phrase mais je peux jurer, ce qui n'est certes, pas grand chose, de son authenticité).
Today is the Day a inspiré Deadguy qui ont ensuite inspiré Converge ce qui a ensuite donné lieu à ce que l'on appelle le hardcore chaotique. Or, qu'est ce que le hardcore chaotique ? Pour cela, point besoin de longues définition, mais juste de deux autres noms de groupes essentiels : Botch et Coalesce. Botch est le pendant "artificier du son" dans le genre grâce à un guitariste tout simplement incroyable et une gallerie de riffs immortelles.
Concert complet de Botch (en ouverture : St Thomas Howell as the "Soul man")
Coalesce en contreparti à un côté quasi jazz / blues dans son approche. Point d'improvisation et de solo mais une interaction ahurissante entre les quatres musiciens. Leur album de reformation, Ox, sorti cet année, est un parfait exemple de leur capacité à jouer ensemble et a créer un son unique à travers des touches, hardcore, metal, jazz et blues.
Coalesce - A disgust for details
Voici donc la première partie de ces recommandations musicales destinés à George. Je vais de suite m'atteler à l'écriture d'un deuxième post, par soucis de clareté, pour la suite.
Deadguy en concert
Mais avant Deadguy ? Et bien, il y avait Today is the Day. Ou, tout du moins, le Today is the Day du label Amphetamine Reptile. Etant fan de ce groupe qui est essentiellement le projet de son guitariste / chanteur / compositeur / producteur, Steve Austin, je suis plus familié avec leur discographie à partir de leur signature sur Relapse Record. In the eyes of God et Temple of the morning star sont aussi des pamps important de la musique moderne (Bill Kelliher et Brann Dailor de Mastodon ont d'ailleurs fait parti de TISD pour l'album In the eyes of God). Plus metal que leurs prédécesseurs, Supernova et Willpower, ce sont vers ces deux premiers disques qu'il se tourner si l'ont cherche à retracer la génèse du son Deadguy qui, eux-même, avouait n'être pratiquement qu'un "groupe de reprise de Today is the Day" (je ne me souviens plus où j'ai lu cette phrase mais je peux jurer, ce qui n'est certes, pas grand chose, de son authenticité).
Today is the Day a inspiré Deadguy qui ont ensuite inspiré Converge ce qui a ensuite donné lieu à ce que l'on appelle le hardcore chaotique. Or, qu'est ce que le hardcore chaotique ? Pour cela, point besoin de longues définition, mais juste de deux autres noms de groupes essentiels : Botch et Coalesce. Botch est le pendant "artificier du son" dans le genre grâce à un guitariste tout simplement incroyable et une gallerie de riffs immortelles.
Concert complet de Botch (en ouverture : St Thomas Howell as the "Soul man")
Coalesce en contreparti à un côté quasi jazz / blues dans son approche. Point d'improvisation et de solo mais une interaction ahurissante entre les quatres musiciens. Leur album de reformation, Ox, sorti cet année, est un parfait exemple de leur capacité à jouer ensemble et a créer un son unique à travers des touches, hardcore, metal, jazz et blues.
Coalesce - A disgust for details
Voici donc la première partie de ces recommandations musicales destinés à George. Je vais de suite m'atteler à l'écriture d'un deuxième post, par soucis de clareté, pour la suite.
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